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Al Tilal Mai Définition. 2. Les actes humains. 3. Le bien et le mal. 4. La loi. 5. La conscience. 6. Specification des actes. 7. La justice.

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1 Al Tilal Mai 2018

2 1. Définition. 2. Les actes humains. 3. Le bien et le mal. 4. La loi. 5. La conscience. 6. Specification des actes. 7. La justice.

3  Éthique : du grec ήθος « ethos » : « lieu de vie ; habitude, mœurs »; en latin mos, moris : (morale).  Définition: L’éthique est une discipline philosophique portant sur les actes humains, en tant que bons ou mauvais.  Ce n’est pas une science descriptive, mais elle porte toujours un jugement de valeur.  L’éthique a un rapport étroit avec la métaphysique, et avec toute la philosophie en géneral, parce que elle a besoin de bien comprendre les idées de réalité, bien, verité, finalité, etc…  Elle a aussi un rapport très claire avec la psychologie et toutes les sciences qui étudient l’homme et ses actes, à partir d’autres points de vue…  Division:  éthique général  éthique spécial (ou éthiques spéciales)…

4  Actes humains et actes de l’homme.  On appelle actes humains ceux qui sont faits avec l’intelligence et la volonté : c’est-à-dire, les actes libres.  Seuls les actes humains ont une évaluation morale.  Influences qui modifient l’évaluation d’un acte :  Par un défaut de l’intélligence : Le doute et l’ignorance.  Par un défaut de la volonté : La passion et la peur.  Par un défaut des autres puissances : La violence  Responsabilité. Imputabilité.  Mérite et démérite.

5  Le bien et le fin :  tous les êtres tendent, par nature, à leur bien, à sa perfection.  l'homme doit distinguer, avec son intelligence, les différents types de biens: utiles, charmants, honnêtes...  donc il distingue et hiérarchise les biens qui sont des moyens et ceux qui sont des fins.  Il y a nécessairement un fin dernier (but final) auquel tous les autres sont ordonnés : Dieu.  Differentes conceptions:  L’hedonisme : tout devrait s’ordonner vers le plaisir...  L’utilitarisme et le sociologisme : le bénéfice du plus grand nombre…  Kant : le bien, tout simplement, en tant que bien…

6  Pour arriver à sa perfection (au fin dernier), l’homme a besoin de règles (normes) morales.  Nous appelons « règles de moralité » à la règle ( norme, mesure… ) au moyen de laquelle le sujet peut reconnaître leurs actes comme bons ou mauvais, selon qu'ils sont conformes ou non avec elle.  la norme objective de la morale est la loi morale.  la norme subjective de la moralité est la conscience. Ce que je veux faire Ce que je peux faire Ce que je dois faire

7  Loi naturelle et loi positive :  la loi naturelle est celle qui découle de la nature humaine (droit naturel),  la loi positive désigne une norme juridique reconnue (s'il s'agit d'une loi naturelle) ou établie par une instance politique (autorité).  La loi naturelle est universel et immuable.  La loi positive ( civil ou ecclésiastique ) oblige en conscience si elle est juste, honnête et possible.  «La loi n’est rien d’autre qu’une ordonnance (ordinatio) de la raison en vue du bien commun promulguée par celui qui a la charge de la communauté» (Saint Thomas d’Aquin).  La loi éternelle : « La raison divine, c’est-à-dire la volonté de Dieu, qui commande de conserver l’ordre naturel. » (Saint Augustin)

8  La conscience c’est la norme subjective de la moralité.  La conscience morale est la partie de la conscience psychologique qui se réfère à l'action et qui porte des jugements pratiques sur la bonté ou la méchanceté des actes humains.  Par rapport à la vérité, la conscience peut être droite (vraie) ou erronée (fausse).  L’ignorance invincible fait que notre action soit involontaire.  Par rapport à la sécurité, la conscience peut être certaine ou douteuse.  Par rapport à la façon de juger, la conscience peut être laxiste (lâche), rigoureuse ou scrupuleuse.  Importance de la formation de la conscience.

9  Les actes humains sont bons ou mauvaises d’après son objet, d’après le but (l’intention) et d’après quelques circonstances (Qui ? Quoi ? Où ? Pourquoi ? Comment ? Quand ? De quelle façon ? …)  pour qu’un acte soit bon, il ne doit avoir aucun défaut ; il suffit d’un défaut pour qu’il commence à être mauvais.  L’action humaine ne consiste pas seulement à des actes isolés : la répétition des actes configure les habitudes.  Les habitudes peuvent être bonnes (vertus) ou mauvaises (vices).  Les habitudes peuvent modifier l’spécification moral d’un acte (en le faisant plus ou moins bon, ou plus ou moins mauvais). Les vertus peuvent augmenter le mérite. Les vices peuvent le diminuer…

10  Les quatre vertus cardinales : 1. Prudence. 2. Justice. 3. Force. 4. Tempérance.  Les vertus humaines : Enfin, mes frères, tout ce qui est vrai et noble, tout ce qui est juste et pur, tout ce qui est digne d’être aimé et honoré, tout ce qui s’appelle vertu et qui mérite des éloges, tout cela, prenez-le en compte (Phil. 4, 8)  Amabilité, Amitié, Assiduité au travail, Audace, Compréhension, Confiance en soi, Courtoisie, Détachement, Élégance, Franchise, Générosité, Humilité, Joie, Loyauté, Obéissance, Optimisme, Ordre, Patience, Patriotisme, Persévérance, Politesse, Propreté, Pudeur, Pureté, Respect d'autrui, Responsabilité, Simplicité, Sobriété, Sociabilité, Souplesse, Unité de vie…  Les trois vertus théologales : 1. Foi. 2. Espérance. 3. Charité.

11  Définition. En tant que principe moral la justice est définie comme le fait de rendre à chacun son dû en rétablissant la vérité et la raison, c'est à dire, à attribuer à chacun le sien.  Espèces de justice. On peut distinguer :  justice distributive (celle qui répartit selon les qualités de chacun) et  justice commutative (celle qui règle les échanges entre personnes selon le principe de l’égalité de proportion).  La charité dépasse la justice, parce que aimer c’est donner, offrir du mien à l’autre ; mais elle n’existe jamais sans la justice qui amène à donner à l’autre ce qui est sien, c’est-à-dire ce qui lui revient en raison de son être et de son agir.

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